Nous avions fait de la réserve Madikwe, l’un des points d’orgue de notre voyage, mais nous ne pensions pas que les 3 jours passés sur place seraient d’assez loin, les plus beaux de notre roadtrip de 3 semaines.

Les réserves privées, de chères alternatives aux National Parks

Si Kruger est un National Park (NP), il existe également en Afrique du Sud un ensemble de réserves privées, détenues par de riches propriétaires. Face à un marché très juteux, les réserves ont progressivement ouvert leurs portes aux touristes, afin de leur permettre de pouvoir admirer les animaux présents sur place.

Plusieurs hôtels, souvent très luxueux, ont été dispersés aux 4 coins de réserves immenses, afin d’accueillir les touristes et de leur proposer une expérience en immersion totale avec la nature.

Suivant les réserves, les accès sont restreints aux seuls résidents des lodges et hotels de la réserve ou sont ouverts pour des safari games aux personnes qui ne résident pas dans les lodges mais souhaitent quand même découvrir la réserve. Il est très rare de voir des réserves qui permettent aux personnes de circuler avec leur propre véhicule à la recherche d’animaux, ce qui est le vrai point fort du NP de Kruger.

Il existe des réserves privées à peu près partout en Afrique du Sud, il en existe même qui sont collées à Kruger, et sont parmi les plus belles (et les plus chères) du pays. Il existe aussi des réserves connues pour le fait qu’elles offrent des possibilités de chasser des animaux, aussi dégoutant cela puisse il paraitre…

Suivant, les réserves, vous aurez plus ou moins (voir aucune) de chances de voir le big 5. Certaines réserves sont reconnues pour la facilité à y voir des éléphants, des hippopotames, etc. Le fait de découvrir une réserve n’est absolument pas obligatoire, Kruger permet déjà de voir les animaux sauvages, presque tous si vous avez de la chance!

Simplement, choisir de faire des Safari games dans une réserve vous permettra de pouvoir faire du hors piste avec votre guide et de pouvoir vivre une expérience inoubliable tant sur le safari que sur l’hôtel où vous séjournerez, pas indispensable sur le principe, mais après l’avoir vécu, on ne peut que vous le conseiller à 2000%.

Nous souhaitions visiter une réserve qui nous offre, au moins sur le papier, des chances de voir l’ensemble du big 5 (lion, éléphant, buffle, léopard & rhinocéros), d’où notre choix de passer 3 jours à Madikwe, après une hésitation avec la proche réserve de Pilannesberg.

Madikwe, la vie sauvage à 4h30 de Joburg

Madikwe est l’une des réserves, avec Pilannesberg, qui donne des opportunités de partir à la recherche du Big 5 à proximité de Johannesburg. C’était un point fort pour nous, car en grands impatients, nous voulions dès notre arrivée sur le sol Sud Africain et plus précisement à Joburg, partir en safari pour vivre cette expérience.

Nous avons choisi Madikwe pour le coup de cœur que nous avons eu pour le Jacis Lodge, et on s’était dit que lors de nos deux derniers jours en Af Sud, si jamais nous avions encore envie de faire un safari, nous pourrions alors annuler Ukutula et partir à la découverte de Pilannesberg.

Au final, après 3 jours à Madikwe et 4 jours à Kruger, nous avions vécu déjà beaucoup et avons donc fait une croix sur Pillanesberg (une autre fois, peut être !).

Pour se rendre à Madikwe, il faut compter entre 4 et 5h de route, réparties également entre de l’autoroute pour sortir de Joburg, de la route goudronnée dans les petits villages, puis une route en terre avant de rentrer dans la réserve et à nouveau de la route en terre à l’intérieur de la reserve pour rejoindre l’hôtel. La route en terre.

Madikwe a été ouverte au public en 1991, et compte aujourd’hui 18 hôtels et lodges sur un terrain d’environ 750km2, soit un petit pays comme Bahrein.

Jacis Lodge, paradis des photographes et de la belle étoile

Il y a deux raisons qui ont fait que nous avons choisi Jacis Lodge plutôt que tout autre hôtel à Madikwe.

D’abord il y a le Terrapin Hide qui est une cabane à laquelle on accède par un souterrain, et qui mène directement au niveau de l’eau d’un dam, dans lequel les animaux viennent s’abreuver toute la journée. En voyant les photos de l’endroit, on a ensuite fait semblant de regarder les autres lodges sans vraiment y réfléchir vraiment, le Terrapin avait fini de nous convaincre que ce serait Jacis Lodge et rien d’autre.

Ce terrapin hide est accessible 24/24 aux résidents des deux hôtels de Jacis, le Jacis Lodge & le Jacis Tree Lodge.

Et puis, il y avait aussi cette chance en choisissant une chambre spécifique le star bed suite, de pouvoir dormir dans un lit placé sur le toit de notre chambre, à la belle étoile, entourés par la nature et le bruit des animaux sauvages, le genre de truc qu’on ne peut vivre qu’une fois dans sa vie…

Nos 3 jours à Jacis Lodge en détails et en images

Jour 1 : Prise de pouls et fête nationale

Notre jour 1 aura plutôt été un demi jour (et encore) mais on était obligés de vous le raconter, parce qu’il aura rimé avec nos premières interactions avec les animaux d’Afrique du Sud.

D’abord il y a eu la récupération de la voiture de location, puis le trajet jusque Madikwe, avec un sentiment un peu bizarre au fur et à mesure que l’on s’enfoncait dans l’arrière pays de Johannesburg. Avec Claudia, et toujours avec beaucoup d’humilité, on a pris l’habitude pendant nos voyages de toujours sourire et de faire des signes de bonjour notamment aux enfants que nous croisons en voiture ou en scooter. Ici, après avoir plusieurs moues contrariées et des regards assez perturbants, nous avons compris que l’ambiance n’était pas exactement la même, il faut aussi comprendre que le passé (et le présent) de l’Afrique du Sud est très lourd, et que la majorité des Sud Africains sont très pauvres, ceci explique peut être cela…

Et puis, après 4h30 de route, à 16h30 nous sommes arrivés devant Jacis Lodge, où nous attendaient 2 employés du lodge et David, notre safari driver.

Normalement, sont inclus dans le prix de la nuit, deux games drives, un de 5h30 à 10h et l’autre de 15h au sunset. Malgré notre grosse heure de retard, David nous avait attendu, pour nous proposer dès notre arrivée, de partir assister au coucher de soleil à un endroit un peu spécial, connu pour ses rassemblements de plusieurs animaux du Big 5.

On ne passe même pas voir notre chambre, et on monte directement dans l’imposant 4×4, où nous ne serons seuls avec David, une vraie chance, même si de toute facon Jacis Lodge limite à 8 résidents la capacité de ses véhicules quoi qu’il arrive (sauf demande des résidents pour des grands groupes par exemple). Dans Madikwe, nous n’avons jamais vu plus de 6 personnes dans les 4×4, on ne peut pas en dire autant de certains 4×4 dans Kruger…

500m plus tard, se dressent à quelques mètres de nous une dizaine d’éléphants, qui d’après David, se dirigent vers le Terrapin Hide pour boire, « ils sont un peu comme nos animaux domestiques, allons plutôt voir les autres », sauf que nous, on est comme des fous, y’a des bébés, ils sont partout, c’est dingue !

Puis nous voyons deux girafes, leur taille nous impressionne, David nous fait profiter de sa connaissance des animaux et du parc pour nous expliquer beaucoup de choses sur les éléphants et les girafes, l’air est tiède, le soleil se couche, et nous ne sommes pas au bout de nos surprises.

Après 30 minutes de trajet, nous arrivons à une grande étendue de terre sèche sans végétation ou presque, et au bout, un point d’eau. Nous sommes 2 véhicules au total, franchement idéal pour se sentir privilégiés. Rapidement, 25 éléphants transitent en face de nous, la lumière orange nous donne l’occasion de prendre de superbes photos des pachidermes, habitués à la présence des véhicules.

Et puis, vient un moment encore plus spécial ; David nous alerte, un rhinocéros est en train d’arriver de l’autre côté du plan d’eau, c’est la première fois de notre vie que nous voyons cet animal, c’est absolument incroyable, on se dit que notre soirée est remplie, que notre roadtrip en Afrique du Sud commence de la meilleure des manières, et on se prépare à rentrer, heureux.

Sauf que, alors que David a fait demi-tour (et qu’il commence à faire froiddddd), son collègue l’appelle au talkie, il faut que nous revenions tout de suite, genre RIGHT NOW.

Le plan d’eau sera à nouveau visible après le prochain virage, c’est à ce moment que David nous avertit. Pendant les 2 jours qui vont suivre, face aux prédateurs imprévisibles, il faudra respecter des règles essentielles, parmi lesquelles il ne faudra jamais se lever dans le 4×4. En effet, les prédateurs voient le 4×4 comme un adversaire bien plus grand qu’eux, sans vraiment considérer les humains qui sont assis à l’intérieur ; dès lors qu’un humain se lève, et laisse apparaître ses jambes, le prédateur reconnait alors l’humain comme entité seule, et forcément bien plus faible que lui, et peut alors à tout moment l’attaquer.

Nous comprenions déjà la proximité avec la nature face aux éléphants et au rhino, mais à cet instant, on se rend encore plus compte que rien n’est vraiment prévisible en safari, comme nous le rappelle le long fusil devant le tableau de bord de David.

Ils sont 4, 1 lion et 3 lionnes, qui viennent de faire s’éloigner les éléphants et le rhinocéros, qui se tiennent désormais à une distance raisonnable. On va rester 30 minutes à les regarder, très calmes, avant que David nous explique que le mâle de la meute est faible, et qu’un premier affrontement avec un mâle désireux de prendre la tête de la meute a eu lieu la veille et pourrait à nouveau avoir lieu cette nuit, le lion est sans doute en train de vivre ses dernières heures de vie, tout simplement, les lois de la nature.

Et comme si cela ne suffisait pas, en rentrant à l’hôtel, on apprend que pour la fête nationale du pays, le lodge a organisé un Braai, un grand barbecue local des spécialités du pays, qui nous permet de découvrir des plats les plus delicieux les uns que les autres, partagé avec David, car c’est la tradition à Jacis, le driver mange avec vous, cela permet d’échanger et de ne pas se limiter à des sorties en voiture, et on ne peut qu’adhérer.

Ce roadtrip commence très très fort, et nous nous couchons comblés, et prêts à nous lever à 5h30 pour le deuxième jour de safari.

Jour 2 : Des éléphants rien que pour nous et un sunset sorti d’un film romantique

Il est 5h30, David tape à notre porte, il est l’heure de se réveiller, de prendre quelques biscuits secs avec un thé bien chaud (car il fait encore pas mal froid tabernacleeee !) puis de partir à la recherche des animaux.

Pourquoi partir aussi tôt ? La vérité des animaux est d’une logique imparable, ils sont actifs quand la température est supportable, et sont inactifs lorsque la température est trop élevée pour se déplacer, incroyable non ?

Du coup, à Madikwe, à Kruger, et n’importe où ailleurs, si vous commencez votre safari à 11h et que vous le finissez à 15h, vous ne verrez aucun animal actif, au mieux vous verrez des animaux immobiles à l’ombre sous les arbres…

Si cela vous semble hyper logique, on a vu des gens à Kruger commencer à sortir des camps à 11h seulement, lorsque nous rentrions pour faire une pause après 5h de safari… chacun fait comme il veut évidemment.

Nous partons donc pour le premier game drive à 6h, et dès les premières minutes David nous demande si nous sentons l’odeur autour de nous, et en vrai on ne sent absolument rien… ca sent le buffle qu’il dit… mouais !

150m plus tard, David freine, et nous dit qu’on peut sortir l’appareil photo, 3 buffles nous font face, et traversent la route devant nous, notre guide avait donc senti à 200m que des buffles étaient autour de nous, c’est là la différence entre découvrir un parc seuls (comme à Kruger) ou découvrir une réserve avec le Mike Horn du game drive…

En croisant un 4×4, celui-ci nous indique deux lionnes au niveau du gros arbre, le gros arbre, genre vraiment ? 750km2, et donc David sait où est le gros arbre ? En plus en arrivant, il n’avait rien de gros cet arbre, alors oui ok David travaille à Madikwe depuis plus de 10 ans, mais on est quand même bluffés.

Car effectivement, deux lionnes sont bien sur place, allongées, ce sont les lionnes de la veille, il manque une lionne et un lion, on ne saura jamais vraiment ce qu’ils sont devenus.

Les animaux s’enchainent, les sangliers (Pumba !), les écureuils (Timon !), les impalas (des gazelles en quelque sorte), les hyènes, les troupeaux de buffles, bref on voit de tout et on prend notre pied, même la pause thé avec vue sur la vallée est absolument folle. Nous rentrons conquis pour profiter (enfin !) de notre magnifique chambre.

Car je crois pouvoir dire que nous ne sommes jamais restés dans une chambre aussi folle, pas dans le chiqué, c’est une chambre juste magnifique, avec son lit en bas et son lit en extérieur, sa baignoire, sa douche, le tout dans une ambiance parfaitement pensée qui vous fait comprendre que vous êtes bien dans la jungle.

En arrivant à notre chambre, Le manager du Lodge s’enthousiasme, nous avons la meilleure chambre, on lui répond qu’on sait, que le lit sur le toit c’est juste dingue, il rigole et nous répond que oui le lit « under the stars » c’est vraiment cool, mais que nous avons surtout une terrasse avec vue sur les bassins de boue.

On ne sait même pas de quoi il parle, nous sommes arrivés de nuit, nous n’avons pas fait attention, mais en fait, il y a bien des bassins d’eau boueuse en face de notre chambre, jusque là rien de dingue, sauf que ces bassins sont frais, et que la boue fait du bien à la peau de certains animaux de la jungle, parmi lesquels les éléphants, vous voyez la suite de l’histoire ?

Il est 11h30, je suis en train de regarder les photos allongé sur le lit, j’entends un cri de Claudia qui prend des photos depuis le lit extérieur et qui descend en courant, 3 éléphants et 1 un éléphanteau viennent de se jeter dans les mares et vont passer 30 minutes à s’enduire de boue, avant de repartir vers le Terrapin hide pour boire, ce moment est absolument magique, nous sommes à 10 mètres des animaux les plus impressionnants de la planète, voilà, tout simplement, notre roadtrip en Afrique du Sud peut s’arrêter maintenant en vrai on sera déjà au top du voyage.

Le safari ride de l’après midi est moins fou (on devient vite difficile en safari vous verrez…) et est rythmé par la recherche du seul membre du big 5 que nous n’avons pas encore rencontré, le léopard. Le plus important nous rappelait David, est de ne jamais faire du léopard la cible de votre safari, sinon vous serez souvent déçus et vous oublierez d’apprécier le reste, car le léopard est furtif et très timide,  en 6 jours de safari, nous en avons vu 2, toujours à une distance de 100m minimum, difficilement visible à l’œil nu (merci le zoom de l’appareil photo et les jumelles). Il y a des gens qui ont fait des dizaines de jours en safari sans voir un léopard ou une cheetah, donc si les voir est une chance, il faut surtout le prendre comme tel et ne pas faire une fixette sur ces deux félins.

Le soleil se couche, et nous rentrons vers le campement, après à nouveau une très belle journée. Sur le chemin du retour, David fait une embardée, puis s’arrête au milieu d’une plaine, où un autre 4×4 du Lodge est à l’arrêt. On ne voit pas ce qui se passe de prime abord, mais lorsque David tourne, on apercoit une table, plantée là, au milieu de la jungle, avec une bouteille de champagne et tout un tas de petites choses à manger… Moka, le manager de l’hôtel avec qui nous avions beaucoup échangé la veille sur notre passion pour le voyage notamment, a pris l’initiative de nous reserver cette surprise absolument folle, de pouvoir assister au coucher de soleil DANS la jungle, genre pas à l’hôtel, ou dans la voiture, non non, DANS la jungle, avec tout les animaux autour quelquepart, c’est incroyable, et on réalise qu’on vit un moment plus que privilégié, dont on se souviendra toute notre vie, surtout quand David nous demande de ne pas trop bouger car un Rhinoceros et son petit traversent derrière nous, franchement dans quelle vie on peut prononcer cette phrase ?

La deuxième journée s’achève et on ne sait pas vraiment quoi demander de plus, on vient de vivre l’une des journées les plus belles de notre vie, tout simplement.

Jour 3 : De l’art de la patience avant la découverte du Terrapin Hide

La troisième (et déjà !) dernière journée, va être un avant gout de notre expérience à Kruger, avec un safari drive matinal assez pauvre en rencontres, nous faisons des kms et des kms sans jamais voir autre chose que des impalas, David ne perd pas espoir, et sort une dernière carte de sa botte, bingo, à quelques mètres seulement du Lodge sur le chemin du retour, nous tombons sur une colonie d’éléphants et sur une lionne isolée qui semble épuisée par les efforts de chasse de la matinée, comme le prouve son pelage encore marqué de boue.

En rentrant, nous filons directement au Terrapin Hide pour enfin découvrir cet endroit, car Moka a entendu des éléphants sur place il y a quelques minutes. En arrivant, nous avons effectivement la chance de voir plusieurs éléphants et des impalas venus s’abreuver sur place, et on s’était pas trompés, cet endroit est quand même top, car il permet de voir sans être vus (ou presque, il ne faut pas faire de bruit sinon les animaux décampent rapidement) et surtout de se placer à une hauteur inédite et d’avoir des opportunités de photos que vous n’aurez sans doute nulle part ailleurs que dans un endroit pareil, on shoote pendant facilement 1h30 et on se sent petits à coté de photographes avec des très très gros engins !! Le Terrapin est ouvert la nuit, et permet à ceux qui le souhaitent de venir admirer ou shooter la vie nocturne des animaux de la jungle.

De retour au lodge, nous profitons de la petite piscine ouverte aux résidents, passons encore 30 minutes face aux éléphants depuis notre balcon et il est déjà l’heure de faire nos valises, car nous devons être à 18h à Johannesbourg et que nous sommes à vrai dire déjà en retard !

Bilan, un moment inoubliable, à un prix à ne pas oublier

Si vous trouvez que 3000 mots sont trop longs pour décrire notre aventure à Jacis Lodge et à Madikwe, croyez nous c’est encore trop peu pour donner l’ampleur de notre expérience de 3 jours, peut être le plus beau souvenir de notre roadtrip sudafricain !

Maintenant, on devait forcément parler avec vous de là où un séjour à Madikwe pose problème, le PRIX…

Car pour rester à Jacis Lodge ou à Jacis Tree Lodge, il faut compter au minimum 500€ par nuit pour la première chambre, qui n’est pas celle avec le starbed. Le problème c’est que ce prix est en fait très souvent doublé lorsque l’on veut réserver et que vous ne paierez pas 500€ par nuit mais plutôt 1000€ par nuit par chambre, et que le séjour sera de minimum 2 nuits…

Pour le Starbed Suite, comptez 1300€ à 1500€ par nuit… Dans ce tarif, les safari drives sont inclus (2 par jour), tout comme l’accès au terrapin, les repas tout au long de la journée etc, presque comme un all inclusive en soi, sauf pour les boissons que vous voudrez ajouter à celles déjà incluses à votre repas, par exemple une bouteille de champagne ou de vin (les autres boissons sont incluses, y compris les boissons dans votre chambre, même le mini bar et l’alcool qui s’y trouve).

A ce tarif, il faudra ajouter les tips que vous donnerez à votre driver, honnêtement nous n’avions aucune idée de quelle était « la norme » et nous lui avons donné environ 15€ par jour, ce qui est sans doute assez peu par rapport à ce qu’il peut recevoir de la part de certains clients du lodge…

Donc voilà, le prix est une réalité qui pourra en arrêter beaucoup, et qui sera la même dans tous les lodges de Madikwe, et sans doute de beaucoup d’autres réserves privées, c’est un choix à faire en votre âme et conscience, nous l’avons fait car nous voulions le vivre une fois dans notre vie, est ce que notre séjour vaut les 2600€ dépensés ? Ce n’est pas la question à se poser, car il est impossible de valoriser financièrement ce que nous avons vécu sur place, et que nous ne vivrons sans doute jamais plus.

Si réserver à Jacis vous intéresse, n’hésitez pas à nous contacter, nous avons beaucoup discuté avec les managers, et on pourra essayer de les contacter pour éventuellement avoir une réduction, même si de toute façon, il faudra vous attendre à dépenser une somme conséquente quoi qu’il arrive, pour vivre un moment hors du temps.

L’aventure continue,

Claudia & Jeremy


Claudia & Jeremy - Amoureux Voyageux

On se balade, on grignote, on photographie et puis on vous raconte !

Booking.com

Booking.com

Privacy Preference Center